Comme en écho à l’échange probable de prisonniers et à la libération espérée du franco-israélien, Gilad Shalit, la cour Napoléon du Louvre accueille jusqu’au 24 octobre une oeuvre éphémère de l’artiste israélien Michal Rovner : MAKOM qui signifie « lieu » en hébreu. Ces deux morceaux de mur ont été réalisés à partir de pierre collectées sur les maisons en ruines de Jérusalem, Bethléem, Galilée, Hébron et à la frontière israélo-syrienne, et installés par des maçons palestiniens et israéliens.
Une invitation à la réflexion sur les enjeux de construction – destruction, de frontière et d’échange.
Alain Burgun