Nouvelle restriction de la liberté religieuse au Tibet
La Chine vient de décider de placer les monastères sous contrôle, direct et permanent, d’un représentant officiel du parti ou du gouvernement.
Mardi 4 janvier 2012, le secrétaire du Parti de la région autonome du Tibet, Chen Quanguo, a annoncé que des membres du gouvernement ou du parti en cause seront mis en poste dans presque tous les monastères. Human rights watch a dénoncé cette décision, qui remet en cause la liberté de culte. Elle marque un pas supplémentaire dans les restrictions qui s’imposent actuellement à la pratique religieuse au Tibet. Mais le contrôle direct des monastères représente un niveau inédit de l’intrusion de l’Etat et constitue un tournant de la politique chinoise envers le Tibet.
Depuis 1962, les monastères s’administraient de façon autonome. Le principe, inscrit dans la législation chinoise, n’avait jusqu’ici été suspendu qu’au moment de la Révolution culturelle.
La mesure fait partie d’un mémorandum sur « les mécanismes pour construire la stabilité de long terme au Tibet », adopté en décembre dernier. Selon les documents officiels, elle vise à combattre le séparatisme et « empêcher les moines et les religieuses de participer à des activités divisant la mère patrie ».
Pour la représentante d’Human right watch, Sophie Richardson, « ces mesures vont certainement exacerber les tensions dans la région ».
Depuis 1994, la Chine a en effet adopté une politique visant l’«adaptation du bouddhisme tibétain au socialisme ». En mars 2008, des mesures de sécurité strictes et restriction des libertés fondamentales dans les régions tibétaines ont été imposées suite à une série de manifestations survenues en mars 2008 contre le pouvoir chinois. En un ans 28 moines se sont immolés pour protester contre la politique chinoise.
Depuis, en plus de la détention de milliers de manifestants, des mesures strictes de sécurité ont été mises en place dans les monastères
Bien que la constitution Chinoise garantisse la liberté de religion, le contrôle sur les activités religieuses des minorités ethniques comme les Tibétains ou les Ouïghours a toujours été plus strict.
Koweit : atteinte à la liberté de la presse
Le quotidien koweitien Al Dar a été suspendu pour 3 mois, après la condamnation de son rédacteur en chef, Abd al-Hussain al-Sultan pour incitation au sectarisme.
Dans ses articles, Al-Sultan avait pris position contre d’autres journalistes, dont les écrits portaient, selon lui, atteinte à la communauté chiite. Cet exercice de la liberté d’expression a été sanctionné par la Cour criminelle koweïtienne qui, le 12 mars 2012, a suspendu le journal. Al-Sultan a été condamné à 6 mois de prison sursis. Il devra également s’acquitter d’une amende de 1 000 dollars Dinars koweitiens pour la publication d’articles accusés d’attiser les conflits sectaires
En janvier, 3 articles ont été publiés dans Al Dar, dans lesquels des agences de presse et des journalistes étaient nommément critiquées pour diffamation envers la communauté chiite. Human rights watch a exhorté le Koweit à lever la suspension du journal et à mettre fin aux poursuites pénales contre le journaliste.
Indonésie : condamnation de Papous suite à une manifestation
Le 16 mars, 5 hommes on été arrêtés à Jayapura, capitale de la province papoue. Ils ont été condamnés à 3 ans de prison pour les déclarations faites au Congrès du peuple papou du 19 octobre 2011. L’événement, qui réunissait un millier de citoyens, avait été brutalement dispersé par les autorités et les violences avaient causés la mort d’au moins 3 personnes. Parmi les 5 condamnés figurent notamment des activistes sur les réseaux sociaux, un ancien prisonnier politique et un chef tribal papou.
Les policiers n’ont pas été inquiétés pour les violences exercées sur la population présente au congrès. Les violations de la liberté d’expression se sont doublées d’arrestations arbitraires et d’un usage politique de la justice. Les cinq condamnés ont également fait état de violences policières lors de la procédure judiciaire.
Les revendications d’indépendance du peuple papou sont sévèrement réprimées en Malaisie et l’accès à la Papouasie, intégré en 1969 à l’Indonésie après la colonisation néerlandaise, est difficile pour les journalistes étrangers et les organisations de défense des droits de l’Homme.
Laos : discrimination des minorités ethniques
Le Comité des Nations unies pour l’élimination des discriminations raciales vient de publier ses recommandations quant à la conformité des pratiques laotiennes en rapport avec la Convention internationale pour l’élimination de toutes les formes de discriminations raciales. Il a noté l’absence d’incorporation de la Convention en droit interne. Les engagements du Laos dans les instruments de protection de droits de l’Homme ne sont pas suivis d’actions concrètes. Certains groupes ethniques, comme les Hmong, sont régulièrement ciblés dans le pays.
Les Hmong continuent à être persécutés en raison du soutien militaire apporté par des membres de la communauté aux Etats-Unis lors de la guerre du Vietnam. Entre 2 000 et 3 000 Hmong se cacheraient encore dans la jungle, dans le Nord du pays.
Depuis 2005, environ 2 000 membres de la communauté qui s’étaient rendus aux autorités ont été détenus, souvent dans des camps et certains ont disparu. Les organisations de droits de l’Homme et les organismes humanitaires n’ont jamais obtenu l’autorisation d’accéder à ces populations.
Un rapport du Mouvement Lao pour les droits de l’Homme, partenaire de la FIDH, a été soumis au Comité des Nations unies. Il a également souligné les discriminations d’autres minorités comme les Miens, les Khmus et les Oïes.
Les Hmong sont originaires des régions montagneuses du Nord du Laos, du Vietnam et du sud de la Chine. Beaucoup se sont exilés à l’étranger en raison de la répression subie.
Espagne : récession économique et non-respect des droits de l’Homme
En Espagne, les populations vulnérables subissent de plein fouet les conséquences de la crise économiques. Les travailleurs migrants de longue durée se retrouvent souvent dans des zones de non-droit malgré leur statut légal. Le permis de résidence de longue durée comporte des lacunes en termes d’accès aux droits sociaux. D’ailleurs leur accès aux soins n’est pas toujours garanti. Dans un contexte de montée du chômage et de réduction des dépenses publiques, ils servent trop souvent de boucs émissaires. La police aggrave cette criminalisation en ciblant ses contrôles d’identité dans la rue en se basant seulement sur l’apparence des personnes. Cette pratique discriminatoire est illégale.
Autre sujet d’inquiétude : les expulsions de logement.
Beaucoup de personnes endettées ont été expulsées de leur logement sans se voir garantir de solution de relogement correct ou de dédommagement en rapport. Le 9 mars 2012, le gouvernement a publié un code de bonne conduite visant à limiter les expulsions de familles ne pouvant plus rembourser leurs prêts immobiliers, code auquel la banque Santander, 1re banque espagnole, vient de se rallier.
De son côté, Amnesty international a remis un rapport au gouvernement espagnol recensant les dérives, en matière de protection des droits de l’Homme, auquel le pays fait face. Le secrétaire d’Etat au ministère de l’Intérieur aurait pris des mesures pour mettre fin aux contrôles d’identité discriminatoires.
Biélorussie : la liberté de circulation des défenseurs des droits de l’Homme en danger
Entre le 11 et le 15 mars 2012, le Biélorussie a refusé plusieurs visas à des défenseurs des droits de l’Homme, alors que ses relations diplomatiques avec l’UE se dégradent.
Au même moment, 6 personnalités biélorusses, notamment des directeur d’ONG de défense des droits de l’Homme ou journalistes engagés, ont été interrompus dans leur voyage, à différents points du pays, alors qu’ils s’apprêtaient à franchir la frontière biélorusse pour se rendre à l’étranger.
L’Observatoire des droits de l’Homme, programme commun de la FIDH et de l’OMCT, a dénoncé ces interdictions de voyage, contraires au principe selon lequel « chacun doit être libre de quitter un pays, y compris le sien » , inclus dans l’article 12.2 du Pacte internationale relatif aux droits civils et politiques. Ce dernier a été ratifié par la Biélorussie depuis 1973.
Les personnels des postes frontière ou de l’immigration locale ont expliqué avoir reçu de tels ordres du ministère de la Justice, qui a de son coté démenti ces interdictions.
Au début du mois de mars, les autorités biélorusses auraient établi une liste de 108 défenseurs des droits de l’Homme et de l’opposition avec pour but de les empêcher de quitter le pays.
Ces mesures interviennent alors que l’UE a étendu récemment la liste des officiels biélorusses sous restriction de visa en direction de l’Union européenne. En Février 2012, les ministres de l’Intérieur de l’UE ont décidé de bannir 21 autres officiels biélorusses, ce qui porte désormais la liste à plus de 200 personnes.
Tanzanie : stigmatisation des enfants atteints du virus du sida
Plusieurs écoles tanzaniennes seraient en passe de faire porter aux élèves séropositifs un ruban rouge en classe. Le directeur d’un de ces établissements a expliqué que la demande venait des parents, afin de dispenser les enfants malades de certaines activités fatigantes.
Pour Michael Bochenek, directeur de la Section légale et politique d’Amnesty international, la séropositivité est un aspect privé de la personne qui ne regarde qu’elle. La stigmatisation causée par le port d’un ruban rouge risque, au contraire, de les rendre vulnérables aux discriminations. En Tanzanie, près de 5 % de la population est porteuse du virus du sida.
El Paso est située aux Etats-Unis, juste derrière la frontière mexicaine. Elle accueille un nombre croissant d’activistes des droits de l’Homme fuyant la violence de Ciudad Juarez, la ville la plus meurtrière du Mexique. Depuis 2008, une vingtaine de militants de droits de l’Homme ont été tués simplement pour avoir eu le courage de dénoncer des crimes.
syrianstories.org : le soulèvement en Syrie raconté en vidéo
Pour marquer le 1er anniversaire du début de la contestation en Syrie, la FIDH, Telecomix et le collectif uprisingstories.org ont lancé le site syrianstories.org. Cette plateforme propose de rassembler des fragments d’informations recueillis et diffusés sur Internet par les témoins de la violente répression qui s’abat sur les manifestants pacifiques.
jeudi 22 mars
18 h 30 – Projection débat « Escadrons de la Mort, L’École Française »
à l’occasion du 36e anniversaire du coup d’état civique-militaire en Argentine
Maison de l’Amérique latine
217 Boulevard Saint Germain
- Métro Solférino
vendredi 23 mars
9 h – 18 h – Journée d’études « Des médias pour la paix » – Pratiques médiatiques et engagements pacifistes dans la France du XXe siècle
Sollicitée à l’occasion des 50 ans de l’Union pacifiste de France (1961-2011), l’association de doctorants en études cinématographiques les Trois lumières organise une journée d’étude sur le thème du pacifisme et des médias dans la France du XXe siècle.
INHA – Institut Nationale d’Histoire de l’Art, salle Vasari
2 rue Vivienne
– Métro Bourse
18 h 15 – Projection-débat : « Monarchie présidentielle, oligarchie financière »
Organisé par l’association des ATS (ex-PSU), la Fondation Copernic, le CEDETIM / IPAM et le journal Politis
- 18 h 15 : Projection de courts métrages : allocution de de Gaulle en 1962 et de Mendès en 1967 (archives de l’INA)
- 19 h : Débat animé par Denis Sieffert, directeur de Politis avec la participation de :
- Serge Depaquit – militant associatif ; ancien secrétaire national du PSU
- Emmanuelle Reungoat – enseignante-chercheuse en sciences politiques ; membre du bureau de la Fondation COPERNIC
- Patrick Viveret – philosophe et essayiste
- 21 h : pot de l’amitié suivi d’une projection et du débat
- Participation aux frais : 5 €
Centre culturel, Cinéma La Clef
34 rue Daubenton / 21 rue de La Clef
Métro Censier-Daubenton
18 h 30 – 19 h 30 – Cercle de silence à St-Maur contre le traitement inhumain des sans-papiers
Parvis devant la station
RER Saint-Maur-Créteil
Saint-Maur-des-Fossés (94)
18 h 30 – Projection et conférence-débat « La femme au cœur des luttes pour la liberté, la démocratie, l’égalité et la justice sociale »
Avec Nawel Gafsya et Fouzia Hamhami
Organisé par le Mouvement du 20 Février – Paris Ile-de-France
18 h 30 : projection du film de Souad Guennoun : « L’agrobusiness européen dans le Souss marocain », suivie de 2 conférences-débats « la spécificité du droit tunisien de la famille » et la seconde sur « les luttes des femmes marocaines ».
Maison de la vie associative (MVA) de Malakoff
28 rue Victor-Hugo – Malakoff (92)
Métro Malakoff – Plateau-de-Vanves -
Tram :T3 Didot
19 h – Soirée-débat avec Raymond Gurème sur les Rroms et les gens du voyage
Organisée par l’Association nationale des Gens du voyage catholique, La Voix des Rroms, Ameça, MRAP, pour le centenaire de la loi 190212 sur le « carnet anthropométrique des nomades ».
»La ligne 13″- Maison de la jeunesse
12 place de la Résistance
- Saint Denis (93)
Métro Porte-de-Paris
20 h – Projection « On est là – travailleurs sans-papiers«
Film sur le mouvement des travailleurs sans-papiers : « On est là », de Luc Decaster, diffusé en avant-première à l’église saint-Merri, avant la sortie nationale du 23 mai.
Église saint-Merri
76 rue de la Verrerie
Métro Hôtel-de-Ville ou Châtellet
20 h – Conférence débat « L’enfermement des étrangers en Centre de Rétention » – LDH
avec :
Isabelle Denise, responsable du service juridique de la LDH
Mylène Stambouli, présidente de Avocats pour la défense des étrangers (ADDE)
Clémence Richard, responsable de la Commission éloignement de la CIMADE
Nadia Sebtaoui, responsable adjointe de la Commission éloignement de FTDA
Claude Peschanski, président de l’Observatoire citoyen du CRA de Palaiseau.
Centre culturel « La Bouvèche »
Allée de la Bouvèche – 71 rue de Paris – Orsay (91)
RER-B Orsay-Ville
samedi 24 mars
20 h – 23 h : Cours gratuit en droit des étrangers – La défense effective des étrangers par l’action juridique en 2012
organisé par intercapa Solidarité
Inscription : Il est recommandé d’adresser une préinscription par courrier électronique ([email protected]) compte-tenu du nombre de places disponibles.
Contact : Eric au 07 86 38 83 43
Maison des syndicats du campus de Jussieu
23 quai saint-Bernard
Métro Jussieu Sully-Morland ou Cardinal-Lemoine
20 h – Concert en soutien à la famille d’Hakim Ajimi mort par violences policières
Concert avec Sake Zaka, Morad &Amp; Mokless De La Scred, Pejmaxx, Camelia Pand’Or, La Jonction
« La ligne 13 »- Maison de la jeunesse
12 place de la Résistance – Saint-Denis (93) -
Métro Porte-de-Paris
dimanche 25 mars
18 h : Projection-débat « Mains Brunes sur la Ville Quand l’extrême droite est au pouvoir » – Enquête sur les mairies FN
Centre culturel, Cinéma la Clef
34 rue Daubenton / 21 rue de la Clef
Métro Censier-Daubenton
lundi 26 mars
20 h 30 – Projection-débat des Cinés-frontières : « Ulysse clandestin »
En présence du réalisateur Thomas Lacoste, avec Luc Boltanski, sociologue, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS)
Cinéma Le Reflet Médicis
3 rue Champollion
Métro Cluny-La-Sorbonne
mardi 27 mars
19 h – Apéro « Non-violence(s), vers la construction d’une nouvelle société ? »
Organisé par l’organisation « Solidarité» avec par le Mouvement pour une alternative non-violente (MAN), représentée par Jean-Pierre Dacheux et Jeunesse, initiatives et non-violences (JINOV), représentée par Jean-Pierre Dardaud.
Pré-inscriptions nécessaires et gratuites sur [email protected] ou par téléphone au 01 48 78 33 26
Galerie Goutte de Terre
46 rue Godefroy Cavaignac
Métro Voltaire
mercredi 28 mars
17 h – Projection-débat « Les Mauvais jours finiront – 40 ans de justice »
Journée de soutien à La Bande Passante avec le réalisateur Thomas Lacoste et la participation de
Danièle Lochak, professeure émérite de droit à l’Université Paris X – Nanterre (où elle a été, entre autres, responsable du Centre de recherches et d’études sur les droits fondamentaux [CREDOF]), ancienne présidente du Groupe d’information et de soutien des immigrés (GISTI) et vice-présidente de la LDH, Laurent Bonelli et Arnault Skornicki, politistes, maîtres de conférences à Paris X – Nanterre et chercheurs au Groupe d’analyse politique (GAP) ainsi que de d’autres invités.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Il est recommandé d’arriver à l’heure…
Université Paris 10 / Paris Ouest – Nanterre
Amphi B2
200 avenue de la République
Nanterre (92) -
RER-A Nanterre-Université
jeudi 29 mars
11 h – Journée de mobilisation pour un système de protection sociale solidaire
11 h à 12 h : prises de parole devant le Sénat
12 h : départ de la manifestation vers le ministère de la Santé
Face au Sénat
Place Pierre Dux
Métro Odéon
RER-B Luxembourg
18 h 30 – Cercle de résistance à Paris contre le traitement inhumain des sans-papiers
Parvis de la gare RER Denfert-Rochereau
Métro, RER-B Denfert-Rochereau
vendredi 30 mars
12 h 45 – Ciné-déjeuner avec le Collectif Haïti « Un autre regard sur Haïti »
Projection du film : Hip Hop Danse Kreyol de Pascal Servera et Pieter Van Eecke.
Centre international de culture populaire (CICP) -
21 ter rue Voltaire
(et non pas Boulevard Voltaire) -
Métro Rue-des-Boulets ou Nation
samedi 31 mars
11 h – 12 h – Cercle de silence à Yerres contre le traitement inhumain des sans-papiers
Place du 11 Novembre 1918
(place piétonne) – Yerres (91)
RER-D Yerres
14 h – 18 h – Salon du livre « Mots en liberté » – Anartscene
regroupant 70 auteurs ou éditeurs
Salle des Fêtes
La Ferme
6 rue de Sucy
Boissy saint Léger (94)
RER-A station Boissy-Saint-Léger
17 h 30 – Présentation du livre « Pacifique »
Sur les insurrections de Paris en 1871, Kabyle en 1878 et Kanaky en 1878 avec l’auteur Eric Michel
Librairie Résistances
4 Villa (impasse) Compoint
angle du 40 rue Guy Môquet
Métro Guy Môquet ou Brochant
20 h – Festival du documentaire politique bobines rebelles
Cinéma l’Ermitage
6 rue Simon
Saint Gobain (02)
dimanche 1er avril
La 2e édition du Festival du documentaire politique et social Bobines Rebelles dans l’Aisne, aura lieu le samedi 31 mars à 20 h et le dimanche 1er avril de 11 h à 22 h 30
11 h – 22 h – Festival Bobines Rebelles
Festival du documentaire politique bobines rebelles
Cinéma l’Ermitage
6 rue Simon
Saint Gobain (02)
lundi 2 avril
Jusqu’au 9 avril : Festival intinérant Pico Y pala : cinéma engagé argentin
http://picoypala.canalblog.com/archives/2009/…
19 h – Cours de droit du travail
Restructurations et licenciements pour motif économique
Avec
Inès MEFTAH, enseignante en droit du travail et Sofiane HAKIKI, avocat et enseignant (Université de Nanterre)
Organisé par le Réseau Stop précarité
Gratuit et ouvert à tous
Bourse du Travail de Paris -
3 rue du château d’eau -
Métro République
mardi 3 avril
10 h – 13 h – Présentation du livre « Comparutions immédiates : quelle justice ? Regards citoyens sur une justice du quotidien »
Organisé par la LDH avec le soutien du syndicat de la magistrature, avec :
Maître Henri Leclerc, Président d’honneur de la LDH,
Serge Portelli, Vice Président au TGI de Paris et membre du syndicat de la Magistrature,
Rémi Cochard, Président de la LDH de Toulouse,
Evelyne Sire-Marin, Vice-présidente de la LDH.
Bibliothèque de l’Ordre des avocats
Palais de Justice de Paris
Île de la Cité -
4 boulevard du Palais -
Métro Cité ou Châtelet
18 h – 20 h – Rencontre-débat Rencontre-croisée : au-delà du conflit israélo-palestinien
Animée par Edwy Plenel, directeur du site d’information Médiapart. Avec :
Benjamin Barthe, auteur de Ramallah Dream, La Découverte (2011)
Michel Warschawsk et Dominique Vidal, Un autre Israël est possible
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
La rencontre sera suivie d’un pot convivial.
mercredi 4 avril
11 h – Séminaire de recherche « L’islamophobie en France » – EHESS
EHESS – École des hautes études en sciences sociales -
salle 1
Françoise Lorcerie (CNRS-IREMAM) : « La politisation du voile »
105 boulevard Raspail -
Métro saint-Placide ou Notre-Dame-des-Champs
jeudi 5 avril
9 h – Journée d’études internationales « Les tentatives de banalisation de l’extrême droite en Europe »
Université du Havre -
Amphi-2,
faculté des affaires internationales
25 rue Philippe Lebon
– Le Havre (76)