Le royaume saoudien cesse désormais de considérer les violences domestiques comme des problèmes privés. Désormais, les personnes coupables d’abus physique, psychologique ou sexuel sont passibles d’un séjour en prison (entre un mois et un an), et d’une amende entre 5 000 et 50 000 riyals saoudiens.
L’ONG saoudienne National Society for Human Rights remarque cependant que, pour porter plainte, les femmes ont besoin d’un gardien, donc d’un homme, pour aller au commissariat. L’effectivité de cette nouvelle loi reste donc à prouver.
C.F.