Cela fait jour pour jour un an que l’activiste des droits humains Yorm Bopha a été mise en prison au Cambodge après un procès aux preuves fabriquées et incohérentes, « parce qu’elle militait et défendait, pacifiquement, les droits de ceux de sa communauté qui ont perdu leurs habitations lors d’expulsions forcées », ainsi que l’explique Isabelle Arradon, directrice adjointe du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International. Elle ajoute: « Cette femme doit être remise en liberté immédiatement et sans condition. »
C.F.