Selon le South China Morning Post, publier des informations jugées fausses sur la Toile peut désormais se voir puni de trois ans de prison, pour peu que celles-ci soient vues 5000 fois, ou partagées 500 fois. Une loi contradictoire, à l’heure où la liberté du net donne un sérieux coup de main à la campagne anti-corruption du gouvernement.
Le Fil