L’Observatoire National de la Pauvreté et de l’Exclusion Sociale (ONPES) a publié vendredi dernier la première enquête étudiant les causes de mortalité des sans-domiciles français. En ressort une espérance de vie nettement inférieure à celle du reste de la population (49 ans au lieu de 77 ans). Les variations de mortalité, existantes mais faibles, selon le changement des saisons, surprennent. Mais, rappelle youphil.com, il faut en conclure que « les personnes vivants dans la rue ne meurent pas que l’hiver. » Aussi les associations d’assistance aux sans-abris estiment que la gestion saisonnière de l’hébergement d’urgence n’est pas adaptée.
Le Fil