Même si la décision iranienne aura été précédée d’une correspondance régulière entre Rouhani, le nouveau président iranien, et Barack Obama, elle a tout de même surpris le Ministère des Affaires Étrangères français. Téhéran s’est dit également prêt à recevoir le gouvernement britannique, une rencontre que ce dernier n’avait pourtant pas demandée. Cette attitude, analyse The Guardian, est un signal envoyé par le président Rouhani qui souhaite avoir une attitude plus constructive avec l’Occident, que son prédécesseur, et qui se prépare donc à discuter du nucléaire, sujet sensible depuis plusieurs années, et bien entendu de la Syrie. L’entrevue pourrait avoir lieu à New York en marge de l’Assemblée Générale des Nations Unies.
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