Un porte-parole russe a fait savoir que les charges retenues contre les activistes de Greenpeace arrêtés en mer de Barent étaient passées d’inculpation de piraterie à celle de vandalisme. La peine encourue, qui était de 15 ans pour piraterie, est désormais de sept ans.
Le 18 septembre dernier, un bateau de Greenpeace avait tenté d’aborder une plateforme pétrolière russe appartenant à Gazprom pour en dénoncer le risque écologique pour l’écosystème arctique. Il avait été arraisonné le lendemain par les garde-côtes russes.