Dimanche 3 novembre, les rebelles du M23 ont appelé à un cessez-le-feu auquel le gouvernement a répondu par la possibilité d’un premier pas. Pourtant, au matin du lundi 4 novembre, l’armée a repris son offensive sur les derniers bastions rebelles. Les tirs à l’arme lourde et les mortiers auraient déjà tué plusieurs civils aujourd’hui.
Les cinq envoyés spéciaux des Nations Unies s’inquiètent de ce regain de violence et mettent la pression pour que les deux parties cessent les hostilités.