Après avoir appelé à se mobiliser contre le régime islamique dans le cadre du Printemps arabe début 2011, Mir Hussein Mousavi et Mehdi Karroubi et leurs femmes ont été détenus puis placés en résidence surveillée par les autorités iraniennes. Cela fait aujourd’hui 1000 jours, sans qu’aucune charge à leur encontre n’ait encore été invoquée.
Alors que le nouveau président Hassan Rouhani a promis en juin de libérer des prisonniers politiques, Human Rights Watch profite de cette date symbolique des 1000 jours pour lui rappeler sa promesse – qui enverrait un message clair de changement par rapport à la présidence d’Ahmadinejad.