Ce matin, plusieurs quartiers de la capitale de la République Centrafricaine ont résonné de tirs d’armes légères et lourdes, sans que les camps des belligérants soient clairement identifiés, bien que le porte-parole de la présidence accuse des partisans de l’ex-président Bozizé d’avoir commandité l’attaque pour prendre le pouvoir.
La situation reste confuse, malgré les 250 soldats français déployés dans les rues. Les habitants se terrent chez eux ou fuient les quartiers abritant les combats les plus féroces.