A voir
Quelle connerie la guerre !
Ce sont les derniers jours de l’exposition « Quelle connerie la guerre » à l’initiative de l’association « Cartooning for Peace » au Forum des images. Ils nous exposent au travers de leur art leur vision de l’horreur de la guerre : plus d’une centaine de dessins signés Ares, Boligán, Boukhari, Dilem, Glez, Kichka, Plantu, Willis from Tunis, Zlatkovsky.
Cartooning for Peace est un réseau né à la suite de la conférence « désapprendre l’intolérance » organisé aux Nations unies par Kofi Annan et Plantu. Ce réseau rassemble des dessinateurs engagés « qui combattent avec humour pour le respect des cultures et des libertés ».
Où aller ?
Abdellatif Laâbi, l’homme révolté
Dans le cadre de son exposition sur le Maroc contemporain, l’Institut du Monde Arabe met aussi à l’honneur de grande figures marocaines. Les Jeudi de l’IMA mettront ce soir à 18:30, Abdellatif Laâbi sur le devant de la scène en nous faisant le portrait de cet homme engagé tant politiquement, que par la presse ou par le théâtre et la poésie.
Mois de l’Économie Social et Solidaire (ESS)
La mairie du 4ème arrondissement organise une soirée de lancement pour le mois de l’Économie Sociale et Solidaire. Cette soirée de lancement comprendra spécialement une table ronde autours de « Quels leviers politiques et économiques pour développer l’ESS en France et à travers le monde ? ».
Venez à la rencontre de professionnels de l’ESS et de personnes qui croient en cette forme d’économie solidaire et ses bénéfices et surtout, venez échanger avec eux.
Que lire ?
Aimé Césaire, Miriam Makeba & co : la vie des grands expliquée aux petits
Africavivre propose un magnifique coup de projecteur sur l’actualité africaine, cinématographique, littéraire et musicale et se veut une plateforme d’échanges autour des événements culturels africains en France. Cette semaine, au théâtre, «Voyage sans visa de Boubacar Ndiaye »
Kidi Bebey raconte, dans cette nouvelle collection de livres jeunesse, les vies d’illustres Africains qui ont marqué l’histoire de leur pays.
Raconter la vie d’Aimé Césaire ou de Miriam Makeba aux enfants, une vie de rêves, de luttes, de tristesses et d’espoirs… ce n’est pas si facile.
La question raciale dans les séries américaines
Sujet de recherche original qui sera très intéressant pour les fans de séries et/ou de sociologie.
Ce livre, à partir de séquences particulières de diverses séries – The Wire, Homeland, Oz, The Sopranos, Orange is The New Black, Mad Men ou encore Nip/Tuck – décrypte les représentations du « stéréotype racial » dans ses séries afin d’en livrer une lecture ou au moins une réflexions sur la société actuelle.
Essentiel pour regarder les séries télé autrement, prendre du recul et transposer la fiction sur notre réalité.
Repousser les frontières
« Repousser les frontières », certains le souhaitent, d’autres essaient de les renforcer et il y a ceux qui souhaitent juste les ignorer.
Cet ouvrage nous propose de regarder ces mots sous différents angle allant de l’opinion d’intellectuels à celui d’artistes en passant par des spécialistes des relations internationales, des géographes et des journalistes. La notion de frontière, qu’elle soit physique, abstraite, géographique ou intellectuelle, mérite bien, par les temps qui courent, qu’on l’interroge.
A la fin du livre, aurez-vous repoussé votre propre vision des frontières ?
Les Barbares
L’acte de « barbarie » auquel Alessandro Baricco fait référence n’est pas celui que l’on supposerait et la cible n’est directement humaine mais est constitutive de notre humanité : la culture.
Alessandro Baricco mène une réflexion sur les mutations de la culture au travers de la modernité, des nouvelles technologies et des « Barbares » à l’origine de ces mutations et de l’effacement de cultures dites « classiques».
Ce livre pose des questions que nous nous posons tous : que sera notre culture dans le futur ? Celle d’un grand ensemble ? Assisterons nous à la disparition des cultures, à l’émergence de nouvelles ? Au mélange et à l’enrichissement ?