En 2006, l’Association des joueuses professionnelles de tennis (WTA) et l’Unesco s’associaient pour définir des programmes destinés à développer l’autonomie des femmes dans tous les secteurs. Dix ans après, ce partenariat pourrait à nouveau voir le jour si la Women’s Tennis Association en fait la demande.
Elle pourrait alors nommer de nouvelles ambassadrices du projet, comme elle l’avait fait il y a dix ans avec l’Américaine Venus Williams, la Chinoise Jie Zheng et la Française Tatiana Golovin. En 2009, dernière année du partenariat, la russe Vera Zvonareva était devenue la quatrième promotrice de l’égalité des genres.
Entre 2006 et 2009, ce sont cinq pays (Cameroun, République Dominicaine, Inde, Jordanie, Liberia) qui avaient bénéficié de cet accord signé entre la WTA et l’Unesco grâce à un budget de 25 000 dollars US alloués à chacun d’eux. Avec, encore une fois, des actions menées autour des prérogatives de l’Unesco : l’éducation, la science, la culture, la communication, et l’information.
D’autres nations auront-elles la chance de se voir verser de telles allocations par le biais du tennis ? La balle, jaune, est désormais dans le camp de la WTA…