Renouveler la République en y inculquant partout l’esprit d’entreprise, dans l’entreprise certes, mais aussi dans les administrations publiques, dans les écoles, dans la société civile, entre les générations, tel est le Manifeste – et le programme original – de Léonidas Kalogeropoulos.
L’idée, le concept du fondateur du collectif « David contre Goliath », qui défend les nouveaux entrants dans tous les domaines de la vie économique, et qui est aussi Vice-président du mouvement ETHIC, œuvrant à la la promotion des entreprises appliquant des stratégies de croissance durable : « l’entreprenalisme ». Prenant ses distances vis-à-vis du libéralisme et voyant dans l’esprit d’entreprendre la source de la richesse des nations, et particulièrement de la France, Léonidas Kalogeropoulos déclare : « L’entreprenalisme est une valeur consensuelle qui peut sortit la France de l’ornière. Aujourd’hui, la plupart des Français sont acquis aux vertus de l’esprit d’entreprendre, véritable richesse collective de la Nation. Ce consensus national dépasse les clivages politiques pour tracer les contours d’une nouvelle citoyenneté concrète et engagée. Il appartient désormais aux responsables politiques de droite et de gauche, conscients de l’élan entrepreneurial des Français, de stimuler cette dynamique à la fois en libérant notre économie de ses carcans et en mettant en place de nouvelles régulations préventives des abus de positions dominantes et garantissant un accompagnement social des nouveaux emplois liés au numérique. C’est l’ambition de l’entreprenalisme, cousin républicain du libéralisme. L’enjeu est considérable, l’espoir également, et les entrepreneurs sont les nouveaux « Hussards noirs » de cette République entreprenante. »
Dans un rapport remis le 4 juillet à Pierre Gattaz, Président du MEDEF, Léonidas Kalogeropoulos développe une série de propositions concrètes à caractère social, économique et politique qui ont vocation à réconcilier les citoyens avec l’ambition d’être « Tous entreprenants ! ».
Une démarche à suivre et sur laquelle nous reviendrons à la rentrée.
Michel Taube