Il est l’un des businessmen préférés des Français et a encore reçu un nouveau trophée pour sa carrière exemplaire : Alain Afflelou se hisse à la deuxième place du classement des patrons les plus admirés des Français établi par le magazine Capital, ex æquo avec Michel-Edouard Leclerc.
Cet homme de cœur (il a encore offert 500 000 masques chirurgicaux au personnel soignant en avril dernier) ne nous révèle pas ses secrets d’alcôve mais il lève légèrement (restons pudiques) le voile sur son rapport au lit. Histoire de saluer notre nouvelle rubrique dominicale : « la saga du LIT ».
Opinion Internationale : Alain Afflelou, que représente le lit pour vous ?
Alain Afflelou : Le lit, c’est le lieu du repos. Je m’y détends, je lis du courrier, des messages, je regarde un peu la télé. C’est un lieu de détente et de respiration.
De grande idées vous sont-elles venues au lit ?
Peut-être mais je ne sais pas m’en souvenir. Peut-être avant de m’endormir car mon cerveau travaille tout le temps.
Même la nuit ?
Si je dors, je ne m’en souviens pas. Mais je ne rêve pas éveillé.
Vous êtes plutôt mousse ou ressorts ?
Résolument mousse : c’est plus douillet, plus confortable. Les ressorts, ça fait du bruit parfois.
Peut-on vous demander quel est le plus beau moment de votre vie passé dans un lit ?
Evidemment non !
Et le lit le plus mémorable dans lequel vous avez dormi ?
Je me souviens d’un lit sur mon bateau aux Bahamas. J’étais arrivé et avec le décalage horaire et la fatigue accumulée, mon fils m’a dit : « papa, tu as dormi 36 heures ! ». Je devais être vraiment bien dans ce lit bercé par la mer.
Pierre Elmalek et Maison de la Literie, c’est une grande histoire d’amitié ?
Oui, nous avons des choses en commun très fortes. Nous sommes de la même ville, près de Sidi Bel Abbès en Algérie. Nous étions à l’école ensemble. Nous nous sommes perdus de vue puis retrouvés à Paris. Et le hasard a fait que nous faisions tous deux de la franchise. La fidélité, ce sont aussi les lits de Pierre : je n’ai que des lits « Maison de la Literie ».
Vous dormez beaucoup ?
Pas suffisamment hélas.
Propos recueillis par Michel Taube