JE SIGNE L’APPEL
« Je sais qu’ici c’est des violences mais chez nous c’est normal ».
C’est par ces mots qu’un Afghan réfugié en France, domicilié à Schiltigheim près de Strasbourg, a justifié le fait de séquestrer sa femme pendant six ans, ici sur le sol français, lui interdisant de sortir de son appartement, l’empêchant d’avoir un compte bancaire, la battant quand elle se plaignait.
Jugé en comparution immédiate le 7 janvier 2022, cet Afghan est ressorti libre malgré sa conception moyenâgeuse et le risque de récidive qu’il fait courir à sa femme !
Pour ces faits, le juge l’a condamné à de la prison avec sursis. 8 mois seulement. Avec un stage de citoyenneté (!) et l’interdiction de s’approcher d’elle pendant 3 ans (ah, quand même ?). S’il ne respecte pas ses obligations, il fera trois mois de prison ferme !
Un sursis pour six ans de « séquestration culturelle » ?
N’aurait-il pas dû être condamné à de la prison ferme, ceci pour tenter de le dissuader de récidiver ?
Madame le Procureur de la République, nous demandons au Parquet d’interjeter appel de ce jugement. Au nom du peuple français.
Au nom du peuple français ? Cet Afghan a peut-être cru qu’en France on rend la justice au nom du peuple afghan ?
Son maintien en liberté met sa femme en danger et nous plonge dans l’insécurité : imaginez un peu, les Afghans forment le premier contingent de demandeurs d’asile en France ! Combien d’entre eux arrivent en France convaincus qu’il est normal de maltraiter sa femme ?
Nous signons cet Appel au nom des valeurs de l’humanisme européen et français, au nom des femmes dont le maintien en liberté de cet Afghan constitue une insulte à leur dignité.
Madame le Procureur de la République, nous demandons la tenue d’un second procès.
Une initiative de Daniel Aaron, consultant
Premiers signataires :
Daniel Aaron, consultant, Silvia Oussadon Chamszadeh, Jean-Louis de Valmigère, consultant, Joël Ohayon, promoteur, Martine Hartz Rohmer, retraitée, Laurence Pasquet, dirigeante, Alain Moyemont, expert-comptable, Marina Studer, Andrea Born, Business Développer Immobilier, Jean-Jacques Bernardini, cadre, Sylvianne Gérard, retraitée
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