Sophie Tissier, cette calomnieuse qui attaque Eric Coquerel, va peut-être nous ouvrir les yeux sur les dérives scandaleuses qui déstabilisent la société française. La lutte contre les violences faites aux femmes (mais où donc est passée MeToo ?) est en train d’être accaparée, confisquée, délégitimée par des enragées, des chimères sur deux jambes.
C’est à croire que le substantif « chimère » a été créé pour Sophie Tissier : monstre qui crache des flammes, idée sans rapport avec la réalité. Ses flammes, c’est sa haine de la société : déjà pendant la crise des gilets jaunes en 2019 puis l’an passé pendant les manifestations contre le pass vaccinal et encore pendant les élections présidentielle et législatives, Sophie Tissier avait déversé ses propos complotistes, son rejet caricatural de tout vaccin, sa haine farouche d’Emmanuel Macron.
Nous nous étions étonnés en 2019 que des médias comme BFMTV donnent autant la parole à cette enragée manifestement instable alors que ses propos frisaient la diffamation permanente et, nous insistons, une haine du « système » totalement caricaturale.
Mais il y a pire dans cette affaire Tissier – Coquerel : c’est la troisième protagoniste, l’autre tête d’affiche, Rokhaya Diallo. Sophie Tissier est instrumentalisée par l’intellectuelle noire (puisque sa couleur de peau tient lieu, dans sa sombre doctrine, de pièce d’identité), elle-même relayée par la cellule ultra-féministe des Insoumis (vous savez, ce pseudo Observatoire bidon). Ces femmes enragées, ces calomnieuses, s’en prennent maintenant à Eric Coquerel, le fringant et déjà démonétisé président élu de la commission des finances de l’Assemblée Nationale, parce que leur cible existentielle, ontologique, ce sont les hommes blancs de pouvoir. Coquerel prend du galon : on l’attaque. Abad avait pris du galon : il fallait le démolir coûte que coûte.
Diallo, Tissier, Sandrine Rousseau, les ultra-féministes des Insoumis : nous constatons tous les jours les dégâts incommensurables de l’intersectionnalisme ravageur qui est en train de balayer toutes les grandes causes de la société en prétendant les unir sous la seule bannière des « nouveaux damnéEs de la terre ». Jeunesse, écologie, antiracisme, la cause des femmes bien entendu, les droits des gays et lesbiennes, respect de la diversité, égalité sociale, assimilation de l’islam aux valeurs de la société française sont actuellement bouffées littéralement par un racialisme intersectionnaliste dévastateur ! L’extrême-gauche avait inventé la haine de la bourgeoisie : elle invent aujourd’hui la haine des bourgeois blancs !
Eric Coquerel et ses amis, les arroseurs arrosés, ont enfanté depuis quelques années des monstres qui, partageant leur haine de la société, vont se retourner contre leurs propres géniteurs : plus elle gagnera de pouvoir et plus cette gauche insoumise et gangrénée par sa haine de la société s’entre-déchirera. Heureusement pour elle que la peine de mort a été abolie car la guillotine ensanglanterait rapidement les dalles de la place de la République, comme ce fut le cas de la Concorde et de l’hôtel de ville pendant la Révolution française.
Michel Taube