Dream of the blue, le rêve relie le monde, moelleux et velours… La poétique chinoise illuminant le monde…

Entre Pékin et Shanghai, sous les mêmes latitudes que les vignobles français et britanniques, dans une des vallées les plus fertiles de Chine, la terre de Suqian, dans la province du Jiangsu, une des capitales des eaux-de-vie de vie chinoise, donne les meilleurs spiritueux, héritiers de millénaires de tradition chinoise et abrite une des grandes marques chinoises parmi les plus rayonnantes au monde, Yanghe.

A Suqian, considérée comme l’une des trois régions de spiritueux de zone humide, aux côtés de la région de Cognac en France et de la région du whisky écossais au Royaume-Uni, à l’abris de la plus grande amphore du monde, le groupe Yanghe possède un parc écologique de 10 kilomètres carrés abritant la plus grande base de fermentation solide au monde, plus de 70 000 caves de qualité supérieure et des équipements de stockage pour un million de tonnes.

Le groupe Yanghe s’étend sur une superficie de 10 kilomètres carrés pour 30 000 employés. Il détient deux marques d’alcool chinois célèbres, deux marques chinoises historiques et six marques chinoises bien connues. De plus, le groupe compte deux sites touristiques nationaux. A visiter sans modération !

Yanghe Dream Blue, un acteur de l’amitié franco-chinoise

Fruit de ces millénaires de tradition, alliage de nombreux sorghos, l’eau-de-vie de Yanghe a décidé de partir à la conquête du monde. Et c’est à Paris, non loin du Palais de l’Elysée et du célèbre Palace Le Bristol, que la province chinoise de Suqian et l’eau-de-vie Yanghee ont illuminé les papilles françaises. 

Événement exceptionnel, Monsieur Zhang Liandong, PDG de Yanghe en personne, a offert aux participants une leçon de bien-être et de philosophie de l’eau-de-vie digne des plus grands esthètes. Secrets des yeux, du nez et de la langue qui découvrent les mille saveurs de ce breuvage profond, le Yanghe Dream Blue relie le ciel et la terre comme les plus belles créations des hommes.

Et le chef d’entreprise de déclarer : « En tant que messager des échanges sino-étrangers, Yanghe Dream Blue adopte toujours une vision vers le monde et l’avenir, capturant sans cesse le charme unique de l’alcool chinois et embrassant le monde avec une attitude ouverte et inclusive. À l’avenir, le groupe Yanghe continuera à maintenir la qualité et l’innovation, exporter la culture chinoise, éclairer l’esprit chinois, transmettre les idées chinoises et répandre la sagesse chinoise à travers le monde. »

Le fait que la capitale du vin ait reçu la capitale des eaux de vie chinoise fut une belle façon de saluer la partie la plus aromatique des échanges entre la France et la Chine, à quelques mois de la commémoration des 60 ans de l’établissement des relations diplomatiques entre nos deux pays. Une façon subtile, aussi moelleuse que l’effet du breuvage sur la langue, de relier Orient et Occident, traditions et modernité.

L’eau-de-vie, symbole de ces échanges culturels, trouve une incarnation parfaite dans le Yanghe Dream Blue, avec ses superbes flacons tels des œuvres d’art, avec son caractère doux, sa culture raffinée et sa philosophie subtile. Ce spiritueux représente la chaleur et la générosité de la Chine.

Tel l’effet papillon d’une goutte d’eau qui de Chine irrigue jusqu’à Paris et la terre tout entière, le PDG de la marque salua les paroles de Victor Hugo : « plus vaste que la terre est l’océan, mais plus généreux est le cœur de l’être humain. »

Les grands de ce monde, tel le futur Charles III, connaissent cette eau-de-vie exceptionnelle. Elle est désormais à la portée de tous les Français qui pourront en découvrir tous ses secrets.

Monsieur Zhang Liandong nous a même confié un des nombreux mystères de ce breuvage des Dieux et des hommes : cette eau-de-vie a des facultés cosmétiques (elle adoucit les mains) et médicinales. Comme le dit un proverbe chinois : à qui sait l’employer, l’alcool est le maître de tous les médicaments…

Bleu de Yanghe, bleu Guimet, bleu du drapeau français… Partez à la découverte de ce petit tour du monde chinois dans un petit verre de Yanghe…

Michel Taube