Mais pourquoi donc a -t-il cédé à la pression wokiste pseudo féministe ?
Balayant lui-même la présomption d’innocence, le directeur de Sciences Po Paris, Mathias Vicherat, a en effet annoncé sa démission à la suite de son renvoi, en même temps que son ancienne compagne Anissa Bonnefont, devant le Tribunal correctionnel, sur fond d’accusations de violences conjugales réciproques. L’affaire, qui a commencé le 3 décembre dernier par un placement conjoint en garde à vue, n’a donné lieu à aucun dépôt de plainte.
J’accuse les étudiants des syndicats d’extrême-woke de la rue Saint-Guillaume d’avoir demandé la tête de Mathias Vicherat, au nom d’un soi-disant principe d’exemplarité, d’une façon injuste et arbitraire.
Et ce dès le lendemain de cette garde-à-vue, qui n’est en rien un jugement ni une condamnation. Jusqu’à « Solidaire étudiant-e-s » de Sciences-Po Menton qui a décidé de participer à l’hallali !
On le savait déjà avec les classements PISA, le niveau de nos étudiants baisse tragiquement ! Celui de leur jugeote aussi, nous en avons la triste illustration.
Plus inquiétant encore : parmi ces étudiants de Sciences Po, se trouve une partie de la future élite du pays ! Ceux qui, parmi nos jeunes générations, sont amenés demain à diriger la France !
Ils auront donc appris à Sciences po à juger sans instruire et à condamner sans preuves !
Michel Taube