Avec L’alternative aux fossoyeuses de l’écologie politique, Jean Marc Governatori, co-président d’Écologie au Centre et tête de liste aux élections européennes du 9 juin, jette un pavé dans le marigot d’EELV.
Son ambition : réconcilier une majorité de Français avec le programme d’une écologie nouvelle dépouillée de ses oripeaux extrémistes. Il en dessine le programme acceptable par tous.
Pour en finir avec cette prise en otage par une minorité politique extrémiste du parti EELV, Jean Marc Governatori dénonce dans son 16ème ouvrage la dérive mortifère vers l’extrême gauche de ceux qui ont trahi l’écologie politique : Sandrine Rousseau, Marine Tondelier et Marie Toussaint. Le livre rappelle leur parcours politique, leurs positions et leurs plus stupéfiantes déclarations.
L’ouvrage propose également pour les élections européennes le projet alternatif, pragmatique et audacieux, capable de rassembler les Français autour – enfin – d’une véritable Écologie au centre.
Extraits.
Le trio infernal Rousseau – Tondelier – Toussaint va-t-il longtemps tuer l’écologie politique ?
« Comment des politiciennes soi-disant écologistes pourront-elles longtemps égarer le débat environnemental avec des thèmes comme l’islamo-gauchisme, la haine du travail, des hommes et des policiers, et une naïveté coupable sur l’immigration ?
L’écologie politique vaut mieux que ces gauchistes ! »
L’écologie politique va avec le libéralisme, c’est la responsabilité individuelle et la fraternité…
« Oui à un libéralisme économique intelligent : l’écologie reconnaît l’économie de marché mais elle la veut encadrée car en l’état actuel des mentalités, il faut un arbitre et cet arbitre, c’est l’État. Le fondement de la pensée de gauche, c’est la fraternité, mais bâtir une société sans la valeur responsabilité conduit au désastre.
La pensée écologiste repose sur ces deux piliers essentiels, la fraternité et la responsabilité. »
Il faut en finir avec l’élevage industriel
« La colère paysanne n’a pas fini de rugir ! Il est grand temps de programmer la grande transition de l’élevage industriel. La viande sera plus chère, les bêtes souffriront moins, les Français en mangeront moins et se porteront mieux. Le paysan, le consommateur, l’environnement, notre santé, tout le monde y gagnera ! »
Utilisons les talents des ultra-riches !
« Au lieu de vouloir les éliminer, il faut associer les ultra-riches à l’investissement et à la gestion dans une région choisie par eux sur un des postes suivants : agriculture bio, économie circulaire, énergies renouvelables et rénovation énergétique. Grâce à leur savoir-faire, les, ultra-riches sauront faire avancer la cause de l’environnement. »
« L’alternative aux fossoyeuses de l’écologie politique » (éd. la politique sur le fil), dans toutes les bonnes librairies et sur le site https://ecologieaucentre.com/