Kamil Abderrahman se présente comme un journaliste dont la voix, loin de toute actualité pertinente, semble se déployer uniquement pour attaquer la France avec une virulence inédite. Dans son univers, l’identité française et ses valeurs sont constamment traînées dans la boue, au profit d’une glorification incessante de l’Algérie, de la Palestine, du Hamas et de leur islamisme sous-jacent.
Sa double spécialité : faire d’Israël un État génocidaire et importer en France la propagande du Hamas. Il faut bien faire de l’audience facile !
Sa biographie Twitter (pardon, X, c’est mieux pour notre journal du Hard-Web), ornée des drapeaux algérien et français, ne trompe personne : elle symbolise plutôt une revendication ambiguë, où l’identité française est souvent la cible de ses attaques incessantes.
Kamil Abderrahman sévit sur le web et plus particulièrement dans son émission, intitulée d’un nom pour le moins folklorique, « Salade, tomates, oignons », diffusée sur la chaîne d’extrême gauche « Le Média » – fondée par la députée de La France Insoumise Sophia Chikirou.
Le discours d’Abderrahman est pernicieux, empreint de mépris et de haine comme l’attestent ses derniers tweets sur Alain Delon : il n’hésite pas à brandir des accusations d’islamophobie à tout-va, qualifiant la France de pays le plus islamophobe au monde, tout en se réfugiant derrière une victimisation calculée. Il ne cesse d’affirmer que le conflit israélo-palestinien est un « génocide de la population Ghazaoui », tout en occultant les menaces constantes des voisins d’Israël qui ont juré sa disparition. Ce deux poids deux mesures dans son discours révèle une incohérence flagrante et un parti pris extrême.
Abderrahman est également un adepte des fatwas numériques : toute opposition à ses vues entraîne une mobilisation de ses dizaines de milliers de suiveurs pour un cyberharcèlement systématique. Sa propension à insulter ses détracteurs de « fachos » témoigne d’une stratégie délibérée pour museler toute voix discordante. Il n’hésite pas à s’entourer de figures d’extrême gauche comme la journaliste Nassira El Moaddem, dont le mépris pour la France est manifeste, pour renforcer son réseau de propagande. Il relaie également les posts du député fiché S Raphaël Arnault.
Kamil Abderrahman est aussi un personnage sulfureux.
Selon nos informations, avant de se transformer en cyber-apôtre de la haine, Abderrahman s’était fait connaître en tant qu’agent pour des candidats de téléréalité, s’occupant de leur trouver des contrats publicitaires et des placements de produits. Cette période de sa vie s’est mal terminée, puisqu’il s’est depuis brouillé avec de nombreuses candidates pour lesquelles il a travaillé, laissant derrière lui une série de conflits personnels.
Pendant le confinement lié à la pandémie de Covid-19, et selon nos sources, il aurait séjourné dans un luxueux appartement de l’ouest parisien. Il y aurait semé un véritable chaos, marqué par des fêtes incessantes et des allées et venues de masseurs privés, perturbant ainsi la tranquillité du quartier. Les voisins, exaspérés par ce vacarme, ne savaient plus vers qui se tourner pour retrouver la paix.
Pour couronner le tout, Abderrahman reste insaisissable aux yeux de la justice. Il ne dispose d’aucune adresse fixe, se décrivant comme un entrepreneur naviguant entre la France, l’Espagne et l’Algérie. Une de ses victimes, qui a subi un raid numérique orchestré par lui, a confié à Opinion Internationale que la police nationale française est bien consciente de ce problème.
Ce profil inquiétant, empreint de victimisation et de haine, incarne, avec d’autres pseudo-influenceurs, cette nouvelle génération de militants qui, en repli sur une identité islamiste influencée par des origines algériennes, menace d’accroître les tensions internes.
La France doit se montrer vigilante face à cette offensive de plus en plus décomplexée qui cherche non seulement à déstabiliser le débat public, mais aussi à imposer une vision radicale et destructive de notre avenir.
Michel Taube