Hier matin à l’aube, il s’est passé des faits d’une rare violence à Grand-Fort-Philippe, près de Dunkerque dans le Nord. Les forces de l’ordre ont procédé à l’interpellation de deux passeurs qui transportaient du matériel nautique à bord d’un fourgon. Les policiers, dont certains membres de la Police Aux Frontières, mais aussi des CRS, ont essuyé des jets de projectiles lancés par une centaine de migrants. Trois policiers ont été blessés.
Nous adressons tout notre soutien aux forces de l’ordre qui accomplissent une tâche extrêmement difficile avec une conscience professionnelle et humaine, sachant que c’est la vie de personnes en détresse qui est en jeu lors de ces interventions.
Mais nous voulons ici insister sur une donnée majeure dont les faits d’hier pourraient être le prétexte à une intervention un peu plus musclée des pouvoirs publics au sein des associations de migrants.
Il est techniquement et humainement impossible que les dirigeants et les bénévoles des associations de migrants ne soient pas en lien direct avec les passeurs et les filières criminelles dont ils sont, de facto, un maillon clé.
L’enfer est pavé de bonnes intentions ? Ces probables complicités dans les associations sont insupportables. Aider des passeurs à mettre des innocents dans des embarcations de fortune, surtout par temps houleux, en les mettant en danger de mort est criminel.
OUI, il y a trop de morts en mer Méditerranée, dans la Manche et la mer du Nord !
Rappelons que mardi 4 septembre, une embarcation a chaviré dans la Manche au large du Cap-Gris-Nez dans le Pas-de-Calais, entraînant la mort de plus de 12 personnes dont des femmes et des enfants. Depuis le début de l’année, plus de 40 migrants sont disparus dans la traversée de la France vers le Royaume-Unis, dans plus des 20 000 traversées illégales.
La tension est telle que Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur démissionné et démissionnaire, a demandé la signature d’un nouveau traité entre la France et le Royaume-Uni sur la gestion des migrants.
C’est pour sauver des vies humaines et tarir enfin ces filières scandaleuses, que nous prônons l’intervention de la marine policière et militaire des Etats européens et nord-africains partenaires pour se substituer totalement aux associations.
Les migrants sont si nombreux que seul le déploiement massif de forces publiques et non de supplétifs « associatifs » à l’idéologie immigrationniste hostile à la volonté dominante des peuples, permettra de sauver des vies humaines et d’arrêter les passeurs.
Ces chemins de la mort et ces cimetières marins continueront à tuer tant que nos armées ne prendront en charge cette noble cause !