La gauche pseudo-révolutionnaire a toujours failli devant l’Histoire. Elle a rechigné et tardé à dénoncer les goulags et le stalinisme ; elle a rechigné et tardé à condamner les « camps de travail » sous Mao ; elle a rechigné et tardé à condamner le génocide perpétré par les Khmers Rouges au Cambodge ; elle a rechigné et tardé à condamner le terrorisme de la Bande à Baader, des Brigades Rouges, de l’ETA ou de l’IRA. Elle a toujours préféré avoir tort avec Sartre que raison avec Raymond Aron…
Elle a toujours préféré perdre son âme en pensant récolter quelques voix, toujours perdues ensuite.
Comment comprendre aussi que François Hollande, dont l’amitié avec Israël a toujours été indéfectible et dont les rapports avec la communauté juive de France ont toujours été exemplaires, se laisse aller lors d’un entretien avec le Figaro Magazine à dire sur Dreyfus, « ce capitaine juif sans doute innocent… », l’air du temps ? L’antisémitisme d’atmosphère l’aurait-il contaminé à son tour ?
Monsieur François Hollande, sans aucun doute, un président ne devrait pas dire cela !
La gauche, la vraie, l’historique, doit très vite se réveiller et exclure de ses rangs les agitateurs d’immondices, les Mélenchon, Chikirou, Soudais, Portes, Hassan, Caron et leurs sbires, et mettre définitivement fin à la comédie NFP.
Dans le cas contraire, c’est elle qui s’exclurait du champ républicain. Si elle reste alliée, de fait, avec ces personnes, il faudra alors appeler à refuser tout désistement, tout vote, tout accord, en sa faveur lors des prochains scrutins. Le « barrage républicain » aura alors pour objectif de refuser de voter pour eux et en conséquence de les faire battre.
Le nouveau front républicain, ce sera alors tout sauf la gauche !